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Date de création : 24.04.2009
Dernière mise à jour : 26.07.2009
149 articles


Voleur de vie

Publié le 06/07/2009 à 18:06 par endlessjoy
Voleur de vie
Du ciel vient une étoile
Et caché derrière un voile
L'homme s'en empare
Hô misérable nuit noire

Lourd est son malheur meurtri
La louve hurle à cette lune de fureur
Seule cette lueur
Apaise sa douleur, ses horreurs, ses cris

Hô folingue chasseurs sont allés
Posseder sa misérable peau
Funestes braconiers
Vaut mieux délaisser vos couteaux

D'or vous vous couvrez
Et de cendres s'envolent cette bête
Coeurs noirs cous serez
OIseaux de malheur habite vos têtes

L'entendez-vous hurler en mal d'amour?
Tout espoir et tout secours
Ô tristes sont ses yeux
Elle pousse un si funestre cri d'adieux

Et langoureusement la noirceur se retire
Dans son regard, il voent un signe piteux
Barbares sont ces hommes victorieux
Voleurs de vie, à vous qui avez fait mourir

Que la honte vous anime

cadeau pour invention

Publié le 03/07/2009 à 17:44 par endlessjoy
cadeau pour invention
cadeau pour toi invention
http://INVENTION.centerblog.net

cadeau pour veloursnoir

Publié le 03/07/2009 à 17:34 par endlessjoy
cadeau pour veloursnoir
cadeau pour toi veloursnoir

sur la route de ma vie

Publié le 03/07/2009 à 17:28 par endlessjoy
sur la route de ma vie
Sur La Route De Ma Vie

J'ai accepté d'ouvrir mon coeur
Un banal soir de novembre
Sereine, sans rien attendre
Sans crainte, ni doute, ni peur

J'ai recommencé à écrire, et mes yeux à ouvrir
J'ai aussi commencé peu à peu à comprendre
Ce que j'ai trop longtemps refusé d'entendre
"Dans une vie... il y a plusieurs chemins à suivre"

Dans un chemin inconnu je me suis aventurée
A la recherche d'un peu plus de bonheur sans doute
A la fois consciente et ignorante des dangers
Passionnément, j'ai quand même poursuivi cette route

Puis je me suis arrêtée au milieu du parcours
Soudain éblouie par les étoiles dans le ciel
Et j'y ai vu parmi toutes une petite merveille
Qui allait changer ma vision de l'amour

Alors je me suis laissée transporter, flotter,
Rêver dans ce voyage galactique
Et voler vers cette étoile qui m'avait subjuguée
Une étoile authentique et magique

Autour de cette étoile j'ai longtemps tourné
Attendant un petit signe d'elle pour que je reste
Mais elle aussi m'avait bien remarquée
Et généreusement elle m'a fait un geste

J'ai ensuite accepté de faire un peu plus de place
Dans ma vie et aussi un peu plus dans mon coeur
Pour cette étoile magnifique, étoile du bonheur
Qui dans mon esprit, désormais, plus ne s'efface

Sur la route de ma vie...

J'ai agrandi encore un peu plus mon coeur
Un jour inoubliable vraiment très particulier
Sereine, prête à aimer et à m'abandonner
Sans retenue, rien que pour le meilleur

Mon amour tu es cette étoile...



Pas un jour il ne se passe
Sans que je ne repense
A ces heures intenses
Qui ont laissé des traces...

Des traces indélébiles et gravées en moi
Des heures de plaisir, des morceaux de toi
Des battements forts du coeur
De purs instants de bonheur

Sur la route de ma vie...

Je ne suis qu'à mi - parcours
Et je veux poursuivre cet amour
Continuer à être amoureuse
Dans tes bras si heureuse...

Sans trop me poser de questions
Ni me soucier du "qu'en dira t-on"
Et savourer avec toi autant que permis
Tous ces moments où nous serons réunis

Sans me projeter dans l'avenir
Mais vivre et profiter du plaisir
D'aimer et de se sentir aimée
Par mon étoile préférée




Et quand parfois nous nous retrouverons
Nous verrons tout là haut cet arc-en-ciel
Scintillant de ses couleurs les plus belles...

Sur la route de NOS vies...

Nos chemins se sont croisés à un carrefour
Et depuis le temps s'est arrêté comme pour...
Nous laisser nous aimer et nous choyer
Laisser pour toujours les étoiles briller...

Puis...

Le temps a passé, repris son cours
Et tu es toujours là mon amour
Tu doutais, peur que ma vie me retienne
Aujourd'hui, je suis bien tienne...

L'avenir n'est plus incertain
Aujourd'hui je peux tout te promettre
Pour tous les lendemains
Mon amour, plus jamais de "peut-être"

La vie va enfin tous les deux nous réunir
Et je peux vraiment tout mon coeur t'offrir
Si les étoiles ne cessent de scintiller
Tu es la seule qui me fasse briller

Et sur le carrefour de nos chemins
Mon amour, viens, prends ma main...
Viens, approche, regarde moi, je te souris
Sais tu que tu es l'amour de ma future vie?

Je suis une femme comblée et amoureuse
Dans tes bras, près de toi, si heureuse
Tu es le plus beau de tous les soleils
Notre rencontre fut une merveille

Nous avons chamboulé notre destin
Yeux dans les yeux, main dans la main
Ensemble prenons un nouveau chemin
Pour y parler enfin de notre lendemain

La Terre pourrait s'arrêter de tourner
Que nous continuerions à nous aimer
Serre fort cette main que je te tend
Car je t'aimerai jusqu'à la fin des temps

Sur la route de ma vie
J'ai rencontré le vrai Amour
Sur la route de nos vies
Aimons nous pour toujours


cadeau pour ma cathou

Publié le 03/07/2009 à 17:15 par endlessjoy
cadeau pour ma cathou
je t'aime petite soeur, tu es ma vie, ma joie, mon bonheur
Tu es un ange venu du ciel
l'amour fraternel de toute une vie
une soeur de rêve
Je t'aime ma jumelle




http://strongemotion.centerblog.net/

merci pour ce merveilleux cadeau

Publié le 01/07/2009 à 15:01 par endlessjoy
merci pour ce merveilleux cadeau
merci veloursnoir pour ce merveilleux cadeau.

Il faut visiter ce blog, il est fantastique

http://veloursnoir.centerblog.net/

L'ultime liberté

Publié le 30/06/2009 à 06:41 par endlessjoy
L'ultime liberté
Comme ce frasil frôlant cette fragile galiote
Comme ce vent impétieux gonflant sans vergogne sa voile
Grandiose pléiade régnait sur les teintes des étoiles
Somptueux rollier voltigeant au ras de cette flotte

Goélette libre, toujours elle chérira la mer
Rien ne l'empêchera d'attaindre l'éternité, la terre
Ce frimas engloutissant ce tapis adamantin
Ne nuira guère en se laissant border et bercer sans fin

Ces flots mugissant et créant un enfer blanc
Ne l'empêcheront point de fendre cette écume
De s'enivrer du parfum de la brume
De s'envelopper de douceurs mélancoliques au gré du vent

Ayant pour seul amant, l'Astre de nuit
Tel un phare qui guide les voyageurs perdus
Laissant dans leurs sillages des disparus
Fantassins qui échangèrent pour ma liberté leu vie

Étendards en berne, brassards jetés
À Dieu tous ses tourments et souffrances
À nous paix, sérénité et romance
Adieu toute cette jeunesse sacrifiée

Enfermant en son antre tous ces sacrifiés
Guerre futile, vagissante dérisoire
Qui pour moi croisa le fer et les plaintes
Apportant ainsi au prix du sang l'ultime liberté


Une journée hors du commun

Publié le 30/06/2009 à 06:27 par endlessjoy
Une journée hors du commun
Aujourd'hui j'ai été témoin d'une situation particulière. J'ai eu une révélation subite qui m'a fait comprendre le sens du mot JE T'AIME.

C'est en cette journée de pluie, quand je me suis retrouvée seule que j'ai réalisé que j'avais un sentiment profond pour lui. Ce sont tous ces moments passés à ses côtés, ses mots doux , ses mots tendres qui m'on enportés. Son sourrir à l'infini, ses petites blagues pour qui pourquoi.

C'est dans ce silence et cette pluie que j'ai pu comprendre que nos forces et nos faiblesses nour rapprochaient davantage. Je peux donc dire que je l'aime.

J'ai enfin trouvé l'homme de mes rêves, enfin compris le sens du mot JE T'AIME, la signification de l'amour, l'explication à notre joie quand nous sommes ensemble, l'envie de ce voir.

Cette petite pensée pour lui, ce petit sourir en coin quand il me regarde, les petites joues rouges quans il me dit qu'il m'aime.

Bref, je trouve les mots pour décrire l'amour si beau de celui que j' aime si je sais décrire l'indescriptible en lui.

C'est ceci le vrai amour


Vitupérer comme un pantin

Publié le 12/06/2009 à 17:15 par endlessjoy
Vitupérer comme un pantin
De la bouche mécanique s'échapèrent ces quelques vers

« Être ou ne pas être, c'est là la question. Ya-t-il plus noblesse d'âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante ou bien à s'armer contre une mer de douleurs et à l'arrêter par la révolte? Mourir... Dormir, rien de plus. Et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du coeur et aux milles tortures naturelles qui sont les legs de la chair. C'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Dormir, peut-être rêver. Oui, là est l'embarras, car quel rêve peut-il nous arrêter. C'est cette réflexion-là qui nous vaut la calamité d'une si longue existence. »

Que dis-je, que sais-je, est-ce bien moi qui prononce ces paroles, qui, il me semble, ne m'appartiennent pas? Mon âme est-elle vide au point que je ne puisse posséder ma propre voix, que je ne puisse m'appartenir? Je frémis, languissant comme un cadavre lyrique. Je me livre à cette dominance avec soumission pour comble de disgrâce, de laideur, d'ignominie, que dis-je, le plus vil des opprobres.

Tout ce flot de paroles qui se déversent en mon âme. Beaucoup de bruit pour rien. Les grandes douleurs sont muettes et muettes sont mes grandes douleurs. Les jours se suivent et ne se ressemblent pas, ce réservoir qui me sert de lieu de songes dégouline de ma pensée maudite. Comble de malheur, ma bouche devient un cloaque creux et indigne de ma liberté.

«Qui en effet voudrais supporter ces flagellations et ces dédains du monde. L'injure de l'oppresseur, l'humiliation de la pauvreté. Les angoisses de l'amour méprisent les lenteurs de la lois, l'insolence du pouvoir et les réhuffardes que le mérite résigné refoit d'hommes indignes. S'il pouvaiy en être quitte avec une simple mise au point.»

Mais, quels sont ces palabres, ces discussions interminables et oiseuses que je déblataire malgré moi? Est-ce une force obscure qui me pousse à réciter ces mots qui ne sont pas de moi? Je me sens comme un enfant né sans mère, la chose de personne. Ne suis-je pas maître de moi-même? Mes entrailles d'ébènes frémissent en me racontant non pas ces choses nouvelles mais d'une manière nouvelle cette vie qui ne m'appartient pas. Bien sûr, l'art est long, la vie est courte. Je me pert en conjoncture pour évacuer cette possession qui me dirige. Vagissante et vomissante est l'expression qui gagne mes cordes vocales faitent de bois fin.

« Qui voudrait porter ces fardeaux, grogner et suer sous une vie accablante, si la crainte de quelque chose après la mort de cette région inexplorée.»

Comment se fait-il que je récite cette pièce de William Shakespare contre mon gré. Visiblment, j'ai perdu la raison. Oû vais-je? Probablement dans un asile d'aliénés ou voire pire, la morgue qui serait pour moi le feu d'un foyer qui pourrait être le théâtre d'enfant jouant à la poupée.

Vraisemblablement, j'aime éperdument l'amour qui malheureusement n'habite point un coeur que je ne possède pas. Finalement, je ne suis qe l'ombre de moi-même.

Puis, d'un élan inattendu, mes mâchoirs s'entrechoquent encore et encore. Elles sont mues par une force extérieure incontrôlable.

« D'oû nul voyageur ne revien, ne troublant la volonté, et nous faisant supporter les mauxques, nous avons pas peur de nous lancer dans ceux de ce que nous ne connaissons pas? Ansi la conscience native résolutions blêmissent sous les pâles reflets de la pensée.Ainsi, les entreprises les plus énergiques et les plus importantes se détournent de leur cours à cette idée perdent le nom d'action. Doucement, maintenant, voici la belle Ophélia... Nymphe dans tes oraisons. Souviens-toi de tous mes péchés.»

Tout d'Abort, les oignons sur mes orteiles, la peinture écaillée recouvrant mon corps articulé des ficelles que je ne contrêlent pas et de ces yeux vides que je regarde ces gens plein d'émotions qui acclament ce ventriloque, mon bienfaiteur, mon argus et l'Assassin demon âme candide.

J'ai rêvé d'être ce quelqu'un qui ne verra jamais le jour sans manipulation de quelque sorte.

Toutefois, je suis ce que je suis, un assemblage de membres livides dont il est le plus fièr.
Cependant, j'affirme avec force que je voudrais être plus que cette chose vide et sans profondeur. Mais, telles est ma nature, telle est ma destinée de faire semblant de vivre, de faire rêver d'autres esprits que le mien. Possède-moi car c'est de cette seule manière que j'arrive à exister. Bref, la pièce est jouée.

« Être ou ne pas être, c'est là la question. Ya-t-il plus noblesse d'âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante ou bien à s'armer contre une mer de douleurs et à l'arrêter par une révolte? Mourir, dormir, rien de plus. Et dire que par ce sommeil nous mettons fin aux maux du coeur et aux milles tortures naturelles qui sont les legs de la chair. C'est là un dénouement qu'on doit souhaiter avec ferveur. Dormir, peut-être rêver c'est cette réflexion-là qui nous vaut ;a calamité d'une si longue existence. Qui en effet, voudrait supporter ces flagellations et ces dédains du monde...»